Sephir Madisson - MODERATRICE

P E R S O N N A G E

Nom, Prénom

Âge

Lieu et date de naissance

Année d’étude

Domaine d’étude

Apparence physique

Qualités

Défauts

Famille

Autres remarques

Groupe?

Pourquoi ce groupe?

P E R S O N N A L I T E

Avatar

Poste vacant

D E R R I E R E . L . E C R A N

Pseudo ou prénom

Âge

Histoire

- Positif… Je suis enceinte…

Tel furent les premiers mots qui annoncèrent la venue de Sephir Madisson. Mais avant de parler d’elle, il faut d’abord énoncer les circonstances de sa naissance. Sa mère, Deborah Madisson, 32 ans, née à Dallas, secrétaire pour la compagnie Hash & Co, divorcée 1 fois fut très surprise lorsqu’elle apprit qu’elle allait avoir un enfant. En fait, elle avait menti sur son âge à son nouveau copain, Duke Porter, un petit jeunot de 21 ans qu’elle avait rencontré dans un bar. Elle voulait un enfant certes mais pas avec lui… il était sa friandise du momentt. Mais la venue d’une petite boule de vie dans son ventre déjoua complètement ses plans. Elle aimait Duke mais ne croyait pas faire sa vie avec lui. Finalement, elle tenta le tout pour le tout. Elle lui annonça la nouvelle et la réaction qu’il eut fut évidente.

- Quoi?! Mais tu es folle! J’veux pas d’enfants, moi.

- Non, et en plus, tu as même pas 24 ans! T’es une menteuse! Je m’en vais, t’as compris! Arranges-toi toute seule.

Puis, le jeune Duke retourna au Canada où il était né pour oublier cette folle. Et la folle en question? Pas question d’avorter, c’était contre ses valeurs et elle le disait toujours. Elle attendit donc l’enfant pendant 9 mois. 9 mois pendant lesquels et se grattait le ventre comme si elle voulait creuser et arracher l’enfant de ses entrailles. Mais elle s’aimait trop pour souffrir ainsi. Et comme pour se rebeller contre une mère complètement folle, le jour où Sephir vit le jour, Deborah dû recourir à la césarienne. C’était involontaire de la part du bébé mais la mère prit cela comme un affront. Dès cet instant, elle voulu se débarrasser du bambin… une fille. Elle l’appela Sephir en lisant une revue qui disait que ce nom dans une autre langue voulait dire malédiction…

- Arrête de pleurer!!!

Les premiers instants de la vie de Sephir furent de bons exemples pour démontrer le reste de son existence avec sa mère. À l’hôpital, Deborah avait sa fille dans ses bras et quand elle en eut assez de la voir, elle appela l’infirmière. Celle-ci tendit les bras mais la nouvelle maman fit en sorte de la laisser tomber avant pour tenter de blesser l’enfant et peut-être la tuer. Mais heureusement, l’infirmière la rattrapa avant qu’elle ne heurte le sol froid. Elle fit remarquer à sa mère de faire attention, l’air scandalisée et alla couchée la petite dans un lit douillet. Tentative numéro 1 : Échec.
De retour dans sa maison, Deborah tenta plusieurs fois de tuer involontairement sa fille. De plusieurs façons et toutes plus étranges les unes que les autres. Empoisonnement… tentative numéro 2 : Échec. Étouffement sous l’oreiller… tentative numéro 3 : Échec. Pendant les 3 premières années de sa vie, Sephir en vit de toutes les couleurs. Une fois, sa mère mit du poison très fort dans son lunch d’école, son premier. Elle allait à son premier jour d’école, toute joyeuse et au midi, elle s’est effondrée dans le couloir. Elle a été déclarée cliniquement morte pendant quelques secondes avant qu’on la ranime et elle a ensuite passé des semaines à l’hôpital. C’est ce jour-là qu’elle comprit ce que sa mère tentait de faire.

- Tu pars pour Red Wing

En grandissant, les tentatives pour tuer Sephir diminuaient car elle n’était pas idiote, elle commençait à savoir se défendre. Et elle se méfiait de plus en plus de sa mère. Et celle-ci qui devenait de plus en plus folle, rêvait qu’elle l’étranglait sauvagement. Les deux femmes s’éloignaient de plus en plus. Deborah dans sa folie meurtrière et Sephir dans on nouveau hobby, les arts. Plus particulièrement le dessin. Elle s’amusait à aller sur les places publiques et dessinait les cow-boys qui passaient pas là ou les touristes de passage dans l’État du Texas. Elle passait son temps hors de chez elle tellement que parfois, sa mère oubliait qu’elle existait ou bien avait des illusions qu’elle l’avait tué. Sephir n’avait pas d’amis où aller alors elle passait son temps dans le petit café Starbuck près de chez elle. Elle était une cliente habituelle et les employés la trouvaient étrange. La jeune brune est totalement normale, c’est sa vie qui est bizarre. Elle ne voulait pas d'amis pour ne pas que les autres voient sa mère qui restait enfermée chez elle et qui ne travaillait plus. C'est pourquoi Sephir dû trouver un travail. Ce ne fut pas long que le Starbuck l'engagea et qu'elle devint une employée modèle... mais qui ne se joignait pas à ses camarades.
Puis, sa mère, se rendant compte que sa fille était une débrouillarde et qu'elle était en train de gacher sa vie, elle chercha un moyen de s'en débarrasser une fois pour toute. Elle chercha des manières de la tuer mais elle tomba par hasard sur un formulaire de l'école de Red Wing. Non seulement cette ville était très loin d'ici mais en plus, elle pourrait ne plus l'avoir dans les pattes pendant des mois, le temps de préparer son départ et de ne plus jamais revoir cette fille indigne. Donc, un soir, elles mangeaient en silence à la table et étrangement, la mère de Sephir semblait joyeuse et... normale. Elle lui demanda si tout allait bien et celle-ci dit les quelques mots qui chamboulèrent la vie de Sephir.

- Je t'ai inscrite dans une école... loin d'ici. Tu pars dans une semaine pour Red Wing.

Elle avait un sourire calme sur les lèvres et fixait Sephir dans les yeux. C'était le moment venu de tout dire ce que Sephir pensait d'elle depuis 13 ans. Elle se leva d'un bond et lui lança son assiette à la figure. Ceci eut pour effet de couper Deborah. Celle-ci cria et regarda sa fille surprise.

- Tu vois comme c'est amusant de se sentir sans cesse en danger et de soudain se rendre compte qu'on peut mourrir à tout moment de la main de quelqu'un en qui on a confiance! J'aurais la lancer plus fort cette assiette pour te couper complètement la peau et te laisser un souvenir de moi. Tu es une folle, et je suis bien contente de partir, je ne te verrai plus jamais!

Une semaine plus tard, elle était dans un train, joyeuse et pleine de vie. Enfin, elle pourrait s'amuser et avoir une vie normale. Puis, alors qu'elle approchait de sa nouvelle ville, cet entrain disparaissait. Le paysage devenait monotone et triste. Il n'y avait plus beaucoup de soleil comme au Texas et quand elle sortir du train, elle se rendit compte qu'il faisait bien plus froid. Finalement, cette ville n'avait rien d'interessant et les élèves y étaient plutôt plates. La ville ne l'excita pas et encore moins quand le premier meurtre survint...

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